Bouygues Telecom me dit de partir pour payer moins cher : quand la fidélité ne paie plus
🟩 Introduction : une situation absurde
Depuis que je suis à la retraite, j’ai décidé de faire un grand ménage dans mes dépenses.
Et comme beaucoup, j’ai commencé par regarder mes abonnements.
Premier constat : mon forfait mobile Bouygues Telecom est complètement décalé avec mes besoins.
400 Go d’internet pour à peine 10 Go utilisés chaque mois… Autant dire que je paie dans le vide.
🟩 La logique voudrait que…
… je puisse simplement changer de forfait vers une offre plus adaptée.
J’ai repéré une petite offre B&You parfaite pour moi.
Je prends mon téléphone, j’appelle le service client Bouygues.
Et là, c’est le début du sketch.
🟩 Quand la fidélité devient un handicap
La conseillère m’annonce très poliment :
“Ah non monsieur, cette offre est réservée aux nouveaux clients.”
Je lui réponds : “Mais je suis client depuis 30 ans.”
Et elle me dit, très sérieusement :
“Justement… il faut résilier, aller chez un autre opérateur pendant un mois, puis revenir.”
Oui, vous avez bien lu : mon opérateur m’explique comment le quitter pour pouvoir rester.
🟩 Un non-sens devenu banal
Cette logique commerciale absurde n’est pas propre à Bouygues.
Beaucoup d’opérateurs, d’assureurs, de banques récompensent… les nouveaux clients.
Et les fidèles ?
Ils paient plein tarif, sans avantage, parce qu’ils sont trop habitués à rester.
Ce système encourage à “jouer au client nomade”, à changer sans cesse pour profiter des promos.
🟩 Une histoire vraie, mais pas si anodine
Derrière l’humour de la situation, il y a une vraie question :
Pourquoi la fidélité n’a-t-elle plus aucune valeur ?
Est-ce normal que la seule façon de payer moins cher soit de tricher avec le système ?
J’ai raconté toute cette aventure dans une vidéo courte sur YouTube, entre coup de gueule et clin d’œil à la société d’aujourd’hui.
🟩 En conclusion
Après 30 ans de fidélité, je me suis retrouvé à me dire :
“Est-ce que ce monde est sérieux ?”
Peut-être que oui. Peut-être qu’il est juste devenu absurde.
En tout cas, j’en ris (un peu) — et vous aussi, je pense.